La Solidaire du chocolat (le départ)
Après une semaine de festivités entre Nantes et Saint-Nazaire, la course à la voile La Solidaire du chocolat s'est élancée dimanche.

Cap sur le Mexique, 5 000 milles plus loin.
Vent d'Est, de force faible. Pas plus de 5 noeuds, d'avis de spécialiste.
Le départ de la Solidaire du chocolat, une transatlantique à la voile entre Saint-Nazaire et Progreso, au Mexique, a été donné dimanche, en fin d'après-midi. Les 48 concurrents, à bord de leur 24 Class'40, voiliers de 12 m, se sont élancés sous spi, devant des milliers de spectateurs, massés sur les quais de l'écluse, sur la jetée Est et tout le long des plages de Saint-Nazaire. Une véritable marée humaine. Du jamais vu pour un départ de course à la voile à Saint-Nazaire.
Les skippers donnaient l'impression de naviguer au ralenti et, multipliant les empannages (virement de bord vent arrière), ils ont offert aux spectateurs une belle leçon de voile, chaque manoeuvre pouvant être suivie depuis le front de mer. Avec le soleil en plus.
Les navigateurs avaient aussi sans doute hâte de lâcher leur coursier.
L'attente, aussi bien à quai que dans l'écluse, a dû leur paraître bien longue. Le sas prévu à 14 h n'a eu lieu qu'aux environs de 16 h 30. Si bien que les concurrents n'ont eu que peu de temps pour se préparer avant le signal de départ. Ce qui ne les a pas empêchés d'être fair-play et chaleureux. Sur chaque voilier entrant dans le sas, les skippers ont salué le public. Comme un geste d'union, de solidarité.
Solidarité, tel est l'esprit de cette nouvelle transatlantique.
Chaque équipage court sous le nom d'une association caritative, elle-même soutenue par une entreprise qui verse un don de 25 000 € destinées aux actions menées par les associations. Au total 500 000 € seront ainsi investis dans l'humanitaire que ce soit au bout du monde, comme au Népal, ou localement.
Cinq mille milles à parcourir, une des plus grandes transatlantiques, et les 24 voiliers rejoindront le port de Progreso, dans la région du Yucatan. Après quelque quatre semaines de navigation qui s'annoncent houleuses, et même mouvementées, dès les premiers jours, puisqu'une grosse dépression est prévue dans le golfe de Gascogne. Loin du temps de dimanche après-midi.
Ouest-France, Eric MARTIN.

Cap sur le Mexique, 5 000 milles plus loin.
Vent d'Est, de force faible. Pas plus de 5 noeuds, d'avis de spécialiste.
Le départ de la Solidaire du chocolat, une transatlantique à la voile entre Saint-Nazaire et Progreso, au Mexique, a été donné dimanche, en fin d'après-midi. Les 48 concurrents, à bord de leur 24 Class'40, voiliers de 12 m, se sont élancés sous spi, devant des milliers de spectateurs, massés sur les quais de l'écluse, sur la jetée Est et tout le long des plages de Saint-Nazaire. Une véritable marée humaine. Du jamais vu pour un départ de course à la voile à Saint-Nazaire.
Les skippers donnaient l'impression de naviguer au ralenti et, multipliant les empannages (virement de bord vent arrière), ils ont offert aux spectateurs une belle leçon de voile, chaque manoeuvre pouvant être suivie depuis le front de mer. Avec le soleil en plus.
Les navigateurs avaient aussi sans doute hâte de lâcher leur coursier.
L'attente, aussi bien à quai que dans l'écluse, a dû leur paraître bien longue. Le sas prévu à 14 h n'a eu lieu qu'aux environs de 16 h 30. Si bien que les concurrents n'ont eu que peu de temps pour se préparer avant le signal de départ. Ce qui ne les a pas empêchés d'être fair-play et chaleureux. Sur chaque voilier entrant dans le sas, les skippers ont salué le public. Comme un geste d'union, de solidarité.
Solidarité, tel est l'esprit de cette nouvelle transatlantique.
Chaque équipage court sous le nom d'une association caritative, elle-même soutenue par une entreprise qui verse un don de 25 000 € destinées aux actions menées par les associations. Au total 500 000 € seront ainsi investis dans l'humanitaire que ce soit au bout du monde, comme au Népal, ou localement.
Cinq mille milles à parcourir, une des plus grandes transatlantiques, et les 24 voiliers rejoindront le port de Progreso, dans la région du Yucatan. Après quelque quatre semaines de navigation qui s'annoncent houleuses, et même mouvementées, dès les premiers jours, puisqu'une grosse dépression est prévue dans le golfe de Gascogne. Loin du temps de dimanche après-midi.
Ouest-France, Eric MARTIN.